De la Musique à la Grâce
Marie Violaine Rycx
Découvrez ou redécouvrez le plaisir du Piano et les joies de l'interprétation.
Méthode ludique et efficace, solfège indolore.
Que les sons deviennent musique....
Marie Violaine RYCX, 30 ans d’expérience professionnelle en école de musique comme en cours privé, met à votre service sa passion de l'enseignement et du partage pour vous faire découvrir les joies du piano.
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Le piano a toujours été votre rêve ? Ce rêve peut se réaliser, quel que soit votre âge (ma dernière élève rentrée : 81 ans, débutante…). Je vous aiderai à progresser à votre rythme, que vous soyez débutant ou confirmé, avec des morceaux motivants qui, à votre propre étonnement, rendront indolore l’acquisition du solfège, et vous feront découvrir qu’un piano peut être caressé.
Vous êtes débutant ? Vous travaillerez d’emblée sur des morceaux accessibles, mais que vous aurez du plaisir à jouer, et vous serez surpris d’avancer rapidement.
Vous avez un certain acquis ? Vous progresserez en abordant des morceaux de genres très divers, que vous pourrez choisir vous-mêmes en fonction de vos goûts.
Vous êtes avancé en piano ? Je vous accompagnerai dans l’interprétation des grandes œuvres du répertoire, que ce soit Mozart, les impromptus de Schubert, les nocturnes de Chopin, les sonates de Beethoven… (éventuellement d’autres œuvres plus modernes, si le cœur vous en dit). Au fil de cours qui sont de vrais moments de partage, vous découvrirez avec émerveillement que "les sons peuvent devenir musique, musique aux couleurs de l’âme"*, que vous pourrez aussi offrir et partager.
Je propose aussi des cours d’accompagnement au piano. Il s’agit là d’un tout autre travail, visant à jouer soit une mélodie accompagnant votre propre chant, soit l’accompagnement d’un chanteur ou d’un instrumentiste.
* Elisabeth Sombart Fondation Résonnance
Tarifs
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séance à l'unité : 55€
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Abonnement :
Possibilité d'abonnement trimestriel
à régler en début de trimestre
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RIB/IBAN CREDIT AGRICOLE
FR76 1130 6000 8448 1457 0707 559
Un parcours improbable
L’année de mon bac, j’ai passé plus de temps à assister à un maximum de cours de ma prof de piano à l’école de musique qu’au lycée…
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L’année suivante, comme j’avais choisi de quitter la maison familiale, elle m’a accueillie chez elle, et pour que j’aie quelques ressources, elle m’a confié une classe de débutants en piano.
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Mon premier élève a été un petit garçon de six ans, qui ne savait ni lire ni écrire, et dont c’était le premier cours. Comment faire ?
Face à lui, j’ai vécu comme un moment de grâce. Je me suis spontanément accroupie pour me mettre à sa hauteur. Je lui ai fait regarder le clavier, les touches noires, les touches blanches. Je lui ai appris à repérer le Do moyen au milieu du clavier, à écouter cette note.
Puis je lui ai fait poser les mains sur le clavier en l’invitant à les arrondir, comme autour d’une petite mandarine qu’il ne devait pas lâcher, se risquer à les promener sur le clavier en se laissant guider, écouter les sons, les harmoniques… C’était mon premier cours.
Nous sommes trente ans plus tard, et il a donné le ton pour tous mes cours à venir.
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J’ai commencé des études de droit et de criminologie, tout en continuant d’enseigner le piano pour gagner ma vie.
J’ai été embauchée dans une école de musique intercommunale avant-gardiste en Lubéron, qui voulait porter la musique dans les villages, plutôt que de demander aux élèves de se rendre au conservatoire.
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En l’espace de deux ans, ma classe de piano est passée de 15 à 50 élèves, et l'aventure a duré une quinzaine d’années. Nous étions une équipe pédagogique de douze enseignants, très solidaires. Nous organisions chaque année un stage musique-montagne qui offrait à nos élèves la possibilité de découvrir les joies de la musique d’ensemble, des concerts de Noël et de Fin d'Année qui leur permettait de partager cette passion magnifique qu'est la musique.
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Au bout de trois ans, j’ai choisi d’arrêter le droit pour me consacrer à l’enseignement, véritable passion pour moi.
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L’aventure au sein de cette école intercommunale s’est arrêtée en 2004 suite à de nouvelles réglementations de l’État que l’école n’était pas en mesure d’assumer. La conséquence : 50 élèves dans la nature, dont certains m'ont rejointe en cours privés.
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J’ai été sollicitée par plusieurs écoles de musique, avec qui j'ai travaillé en Vaucluse et Alpes de Haute Provence.
J’ai aussi conservé des cours privés pour garder une liberté d’enseignement. J’avais moi-même tellement reçu du piano que je voulais permettre alors à un grand nombre d’adultes d' y accéder.
J'ai également été sollicitée par le conservatoire de musique d'Apt (remplacement) où j'ai fortement apprécié de travailler avec une équipe que je connaissais bien, car 30 ans d'enseignement, ça crée des liens...
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Sur ce chemin, il y a eu la rencontre avec un maître d’exception, Elizabeth SOMBART, qui a éclairé tout mon chemin de vie et m’a plongée dans un émerveillement qui non seulement ne s’épuise pas, mais se renouvelle et s’approfondit au fil des ans.
La musique à laquelle elle invite : « au cœur de l'émerveillement » - c’est le titre de son livre, qui en donne tellement le ton !
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Elizabeth me fait accéder à une trame très profonde en moi, qui consonne avec ce qui la porte, avec les choix qu’elle pose en docilité. Son rayonnement invite au rayonnement, à l’amplitude, à l’accueil de la grâce, et sa fidélité qui ne se dément pas me bouleverse.
Le Corona m'aura au moins donné l’inspiration de proposer des cours par skype , ainsi de créer ce site et d'y articuler les cours en visioconférence.
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Je vous livre ci-dessous le témoignage que m’a envoyé ma première élève - l'amie d’une amie, professeur de musique en collège, désireuse de redéployer le piano dans sa vie (quatre jours après son premier cours).
Je pense souvent, souvent à toi ! Depuis mon premier cours, je me "mets" au piano, et c'est tellement agréable !
Ce n’est pas : Je "fais du piano", ce n’est pas non plus je "travaille" mon piano... Ni encore : je "joue" du piano.
Non : Je me "mets" au piano. Je m'assieds, je lui parle, il me répond, je lui fais confiance, il me remplit de sa douceur, de sa puissance, de sa richesse... C’est plutôt lui qui me travaille en fait. Il est en train de me simplifier, d'unifier quelque chose en moi. Et quand je le referme, je ne suis ni vidée, ni déçue, ni frustrée, ni critique comme tellement tellement souvent. Je suis rassasiée comme après un bon repas, détendue comme après un bon massage...
J'avais envie de te dire cela avant de m'y mettre, de te dire merci aussi.
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